Titre : |
Les oliviers du Négus : nouvelles |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Laurent GAUDE (1972-....), Auteur |
Editeur : |
Arles : ACTES SUD |
Année de publication : |
impr. 2011 |
Collection : |
Domaine français |
Importance : |
1 vol. (157 p.) |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
22 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-7427-9774-5 |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
8-3 |
Résumé : |
En quatre récits qui ont surgi dans les interstices de ses romans, et où les lecteurs retrouveront toutes les harmoniques de l'oeuvre, Laurent Gaudé revisite des Enfers qui lui sont essentiels. Tels le Négus et Frédéric II dont les oliviers de Calena gardent le souvenir, tel ce centurion mourant (Le Bâtard du bout du monde) qui marche vers une Rome gangrénée dont il devance l’agonie, tel ces soldats des tranchées (Je finirai à terre) qui luttent contre un Golem, ou tel ce juge anti-mafia (Palerme) qui égrène le compte à rebours de sa propre exécution, tous les personnages de ce recueil sont portés par la conscience (anxieuse, sereine ou exaltée) de l’instant fatal. Tragiques et minuscules fantassins de la légende des Siècles, face à une Histoire lancée dans sa course aveugle, et face à une nature complice ou inexorable, ils profèrent la loi de la finitude qui, plus que toute conviction, donne force et vérité à leur parole. La mort est la naissance du récit, qui la déplore et la célèbre comme un vivifiant chant du monde. |
Les oliviers du Négus : nouvelles [texte imprimé] / Laurent GAUDE (1972-....), Auteur . - Arles : ACTES SUD, impr. 2011 . - 1 vol. (157 p.) : couv. ill. en coul. ; 22 cm. - ( Domaine français) . ISBN : 978-2-7427-9774-5 Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
8-3 |
Résumé : |
En quatre récits qui ont surgi dans les interstices de ses romans, et où les lecteurs retrouveront toutes les harmoniques de l'oeuvre, Laurent Gaudé revisite des Enfers qui lui sont essentiels. Tels le Négus et Frédéric II dont les oliviers de Calena gardent le souvenir, tel ce centurion mourant (Le Bâtard du bout du monde) qui marche vers une Rome gangrénée dont il devance l’agonie, tel ces soldats des tranchées (Je finirai à terre) qui luttent contre un Golem, ou tel ce juge anti-mafia (Palerme) qui égrène le compte à rebours de sa propre exécution, tous les personnages de ce recueil sont portés par la conscience (anxieuse, sereine ou exaltée) de l’instant fatal. Tragiques et minuscules fantassins de la légende des Siècles, face à une Histoire lancée dans sa course aveugle, et face à une nature complice ou inexorable, ils profèrent la loi de la finitude qui, plus que toute conviction, donne force et vérité à leur parole. La mort est la naissance du récit, qui la déplore et la célèbre comme un vivifiant chant du monde. |
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