Titre : |
Paul et Virginie : avec des extraits du Voyage à l'île de France |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Henri Bernardin de Saint-Pierre (1737-1814), Auteur ; Jean Ehrard (1926-....), Préfacier, etc. |
Editeur : |
[Paris] : Gallimard |
Année de publication : |
2004 |
Collection : |
Folio |
Sous-collection : |
Classique |
Importance : |
337 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-07-031624-3 |
Note générale : |
Bibliogr. p. 313-315 |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
8-3 |
Résumé : |
«Tout l'équipage se précipitait en foule à la mer, sur des vergues, des planches, des cages à poules, des tables, et des tonneaux. On vit alors un objet digne d'une éternelle pitié : une jeune demoiselle parut dans la galerie de la poupe du Saint-Géran. C'était Virginie. Tous les matelots s'étaient jetés à la mer. Il n'en restait plus qu'un sur le pont, qui était tout nu et nerveux comme Hercule. Il s'approcha de Virginie avec respect : nous le vîmes se jeter à ses genoux, et s'efforcer même de lui ôter ses habits ; mais elle, le repoussant avec dignité, détourna de lui sa vue... Dans ce moment une montagne d'eau d'une effroyable grandeur s'avança en rugissant vers le vaisseau. À cette terrible vue le matelot s'élança seul à la mer ; et Virginie parut un ange qui prend son vol vers les cieux.» |
Paul et Virginie : avec des extraits du Voyage à l'île de France [texte imprimé] / Henri Bernardin de Saint-Pierre (1737-1814), Auteur ; Jean Ehrard (1926-....), Préfacier, etc. . - [Paris] : Gallimard, 2004 . - 337 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( Folio. Classique) . ISBN : 978-2-07-031624-3 Bibliogr. p. 313-315 Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
8-3 |
Résumé : |
«Tout l'équipage se précipitait en foule à la mer, sur des vergues, des planches, des cages à poules, des tables, et des tonneaux. On vit alors un objet digne d'une éternelle pitié : une jeune demoiselle parut dans la galerie de la poupe du Saint-Géran. C'était Virginie. Tous les matelots s'étaient jetés à la mer. Il n'en restait plus qu'un sur le pont, qui était tout nu et nerveux comme Hercule. Il s'approcha de Virginie avec respect : nous le vîmes se jeter à ses genoux, et s'efforcer même de lui ôter ses habits ; mais elle, le repoussant avec dignité, détourna de lui sa vue... Dans ce moment une montagne d'eau d'une effroyable grandeur s'avança en rugissant vers le vaisseau. À cette terrible vue le matelot s'élança seul à la mer ; et Virginie parut un ange qui prend son vol vers les cieux.» |
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